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Revue de Presse - Messe des Nations

VIE RELIGIEUSE Publié le 05/01/2009

KERBACH

Messe des Nations célébration de la tolérance

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  La petite église de Kerbach a prêté son cadre hier matin à une messe des Nations célébrée par Mgr Pierre Raffin. L’évêque de Metz a rappelé dans son homélie le sens de la fête de l’Epiphanie qui a lieu le 6 janvier.

A deux jours de l’Epiphanie, la communauté de paroisse de Kerbach, Bousbach et Behren-lès-Forbach s’est rassemblée autour de Mgr Pierre Raffin en l’église de Kerbach. Hier matin, la petite église du village a accueilli la septième messe des Nations initiée en 2003 par Jean-Louis Barthelmé.
En son temps, le curé de la paroisse, et vicaire épiscopal, a voulu que la célébration de l’Epiphanie prenne un tour particulier dans un secteur cosmopolite, ballotté par l’histoire et enrichi par ses immigrants.

La messe des Nations se veut ainsi un temps de partage et de compréhension de l’altérité, un rassemblement des populations de différentes nationalités pour dire, comme l’a exprimé Jean-Louis Barthelmé, que «personne n’est exclu dans la manifestation de Dieu ».
Au cours de son homélie, Mgr Raffin s’est fait fort, lui aussi, de porter ce message de tolérance et d’ouverture : «Notre désir d’avoir une Eglise ouverte à tous les peuples de la terre se concrétise dans une prière universelle

Actualité

L’évêque a invité les Chrétiens à se retrouver dans l’Epiphanie, "la manifestation de Dieu", pour comprendre que la mission du Christ a été «de rassembler les peuples païens sans contester le statut d’Israël ». Il a rappelé que «l’Eglise est issue du Judaïsme et du paganisme» et qu’ainsi, dès son origine, elle a prôné l’acceptation de tous sans distinction de classe ou de culture.
Dans son propos, Mgr Raffin a également indiqué que «les juifs sont les frères aînés et que, de ce fait, le judaïsme occupe une place unique dans le dialogue interreligieux », tout en précisant, concernant l’actualité au Moyen Orient, que : «Notre respect pour le peuple juif ne nous empêche pas de désapprouver la manière dont l’Etat d’Israël se comporte à l’égard de son voisin. »

La cérémonie s’est ensuite poursuivie par des prières et des chants. Elle a été ponctuée par des interventions de représentants de plusieurs communautés du bassin houiller. Quelques mots ont été prononcés en italien, en polonais, en malgache, en espagnol, en portugais et en anglais.

Au terme de la célébration, les drapeaux de ces pays ont ouvert la marche, flottant en tête d’une procession qui s’est achevée sur le parvis de l’église.

Chacun était convié ensuite à un verre de l’amitié au foyer municipal de Kerbach.

Th. F



Dernière cérémonie en l’église notre-dame-des-nations

 

Behren se recueille

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Recueillement et nostalgie. Lors de la messe de la nuit de Noël, une importante assistance a fait le déplacement en l’église Notre-Dame-des-Nations de Behren-lès-Forbach. Bien sûr, les paroissiens ont pu admirer un spectacle de toute beauté, portant sur le respect de la nature, créée par Dieu. Mais parmi les plus anciens, on sentait poindre la tristesse d’assister à la dernière cérémonie célébrée en cet édifice. En effet, en 2009, l’église connaîtra une désaffectation et devrait ensuite accueillir la bibliothèque municipale.

Publié le 26/12/2008



Dernière messe à Notre-Dame    
Publié le 24/12/2008
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Aujourd’hui, l’église Notre-Dame de Behren-lès-Forbach va célébrer un dernier culte, avant sa prochaine désaffection.

Un dernier culte et puis s’en va. Ce soir, à 18 h, en l’église Notre-Dame de Behren-lès-Forbach se déroulera la messe de la veille de Noël, pour toute la communauté de paroisses. Une cérémonie qui revêt un caractère particulier puisque c’est le dernier office qui y sera célébré. En effet, une procédure de désaffectation est en cours. «C’est une démarche que nous réalisons à contrecœur », indique l’abbé Jean-Louis Barthelmé. «Mais nous nous y préparons depuis plusieurs années et nous avons pris cette décision en accord avec les paroissiens », poursuit le vicaire épiscopal.
Un choix dicté par le sens de l’histoire. L’église Notre-Dame a vu le jour dans l’immédiat après-guerre, au moment où l’exploitation charbonnière, en plein essor, recrute de la main-d’œuvre. La démographie de Behren est alors galopante. «Les travailleurs qui arrivaient, venus d’Italie ou de Pologne, étaient très pratiquants.» Du coup, l’église du village devient trop petite. Deux autres édifices, Notre-Dame et Saint-Jean-Bosco voient le jour. Des photographies de l’époque montrent l’église Notre-Dame en bois, à l’égal des baraques de mineurs. Ce n’est que dans les années soixante qu’elle va être construite en dur, avec cette architecture singulière, marquée par une façade en triangle, à l’image de l’église de Bellevue à Forbach.
Mais depuis une décennie, la baisse du nombre d’habitants et du nombre de fidèles est une réalité dans tout le Bassin houiller, qui s’est déjà traduite par le regroupement en communautés de paroisses. Au cours des années quatre-vingt, la cité behrinoise a connu en outre une évolution de sa démographie, avec l’arrivée de populations non-chrétiennes. Trois églises ne se justifient donc plus. Dès accord du préfet, l’église Notre-Dame sera gérée par la commune, à qui elle appartient depuis 2000. La municipalité souhaite y installer la bibliothèque communale.

Spectacle de Noël

«A proprement parler, Notre-Dame n’est pas une église, mais une chapelle de secours », précise Jean-Louis Barthelmé. Un détail qui a son importance puisque l’édifice ne connaîtra pas de désacralisation mais une désaffectation. «La différence tient dans l’autel. L’église paroissiale Saint-Blaise possède un autel fixe, en pierre, tandis que Notre-Dame a un autel en bois, mobile.» Des trois églises behrinoises, «Notre-Dame, avec une capacité de 400 places, est la plus grande et la plus pratique.» Mais le choix raisonné a été de conserver les églises Saint-Blaise et Saint-Jean-Bosco. En effet, le conseil de fabrique avait de plus en plus de difficultés à entretenir et à gérer trois bâtiments. «Ça devient très lourd financièrement. En termes d’investissements, nous avons donné la priorité aux deux autres églises.» Cependant, Jean-Louis Barthelmé estime que les paroissiens ne seront pas lésés avec un nombre de cultes suffisants proposés à Behren (cité et village), Bousbach et Kerbach.
Et ce soir, Notre-Dame vivra un dernier temps fort. «Pour la messe de Noël, c’est à un véritable spectacle, avec près de cinquante acteurs et des projections sur écran géant, que nous convions les fidèles

 


Date de création : 27/12/2008 @ 11:16
Dernière modification : 04/02/2009 @ 15:40
Catégorie : Revue de Presse
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